9 mai 2009

55. Le logogryphe chapardeur

Lire quelques pages, insérer son cœur comme signet, déposer le livre, le reprendre un peu plus tard, découvrir qu'on a volé le signet, sans aucun doute l'œuvre d'un logogryphe, et se retrouver perdue dans le labyrinthe, la lecture retorse.
On ne s'y habitue pas, et c'est tant mieux.


*


tout au bout du vide
la laisse
et votre main


*


Marge avait son mot à dire.
Malheureusement, c'était «bigorneau».
Ce ne fut pas un franc succès.

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