Marge s'est initiée à l'art raffiné de déguster du homard cette fin de semaine. Une première fois improvisée et mémorable... Elle avait en sa possession un marteau, une pince de jobber et un pic à fondue. Inutile de mentionner qu'elle a des plaies plein les mains, et que son narrateur a bien ri d'elle.
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La dernière fois que Marge a pris un thé avec Yoda, celui-ci lui a répété ces quelques mots: «Ne pas t'inquiéter, tu dois. Lâcher prise, tu dois. En danger, Marge n'est plus.»
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«Note de l'auteur»:
B+
Ce cher Yoda, toujours la voix de la sagesse... quand il ne boit pas. Car lorsqu'il est sur la "brosse", il se met à parler comme un charretier et devient négatif.
RépondreSupprimerJ'ai fort apprécié l'inclusion du mot "jobber". Je ne sais pas pourquoi, mais ce terme m'a toujours fait sourire... peut-être parce que je suis un gars, qui sait?
Mais je ne suis pas d'accord avec l'auteur sur un point. J'aurais donné une note supérieure à B+.
D'un mec qui est sûr que s'il avait été prof, il aurait eu trop grand coeur et aucune sévérité,
l'ami Frank.
Tu te serais fait manger la laine sur le dos, mon ami au grand cœur :)
RépondreSupprimerEn effet.
RépondreSupprimerPar contre, pour ma défense, j'aimerais ajouter que même s'ils me mangeaient la laine sur le dos... et bien, ils s'étoufferaient. Gna gna!
La laine, ça pogne dans la gorge et dans les dents. De toute façon, ils auraient des remors d'avoir profité de la bonté d'un compatriote québécois bien avant. Faut avoir confiance en la bonne nature humaine, non?
Hmm... à bien y réféchir, ne réponds pas à cette question, héhé.
À déjà deux jours de passés cette semaine,
l'ami Frank.