3 août 2009

136. Calembour et vacuité

Au bar du coin, cet homme au regard luisant de sous-entendus offre un vers à Marge. Souriante, elle le prend avec plaisir dans la mesure où ce n'est pas un autre calembour, elle qui en a déjà plein le nez, la bouche et les poches...


*


Chanson à répondre célébrant la vacuité de la poésie :
(Allez, on tape des mains et des pieds)
♫♪ nous viderons nos vers
les remplirons
les viderons
nous viderons nos vers
nous les remplirons ♫♪
(Bis ou jusqu'à plus soif)


*


Mieux vaut en rire aux larmes que d'en pleurer.

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