12 décembre 2009

256. Le train

Ce matin, Marge constate qu'il ne reste plus de lait, plus de pain... Elle met donc du Baileys dans ses céréales et passe une excellente journée...


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le train de ma pensée quête les autres comme villes mouvantes dans un corps qui cherche à tout fixer n'importe comment à crédit à n'importe quel prix poussière de vie aux vents j'égraine les stations ravale les rails voix éraillée la voie est soûle de vous


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mind the marge between the train and the station

1 commentaire:

  1. La dernière ligne de cette entrée ne viendrait-elle pas de la fameuse chanson du groupe
    "S'corps-pion" intitulée : "The Wind of Marge"?

    Elle me disait vaguement quelque chose, alors...

    Pop-culture friend Frank.

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