Marge songe à une réécriture des Fleurs du mal : Les plates-bandes du mal. Avec une jardinière totalement échevelée, des marmottes intrusives, de la poésie, de l'autodérision, des fleurs dans le tapis et du burlesque-à-volonté. Ce ne serait pas l'oxymore qui dominerait... mais plutôt le comique et l'incongruité même d'un questionnement sur les notions de bien et de mal, au final.
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L'homme et le monde sont liés comme une langue et sa bouche.
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la larme camouflée
dans le pli d'un rire
chacun son tour de garde
Petite note d'appréciation : j'adore la dernière partie de cette entrée! Un savoureux petit brin de poésie.
RépondreSupprimerL'ami Frank.