trop souvent
j'orgueille
par la fenêtre
et ne te vois pas
j'ai phrasé
pour te voir déposer
enfin
ton point final
sur ma gueule
recueillie
me suis trompée
accueille
ta relance ton rattage
reprisage repiquage
digressage enclavage
esclandre esclavage
mais surtout
tes larges images
qui sont gambadage
sans clôturage
ton infinitude festive
où un bouffon s'essouffle
des fréquents relents d'un récit en creux
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