Il avait souvent l'impression de vivre dans une
horloge, il lui arrivait même de se confondre avec le mécanisme, Miror se mettait alors à tourner et à crier les heures comme un condamné à mort. Cela pouvait durer une journée entière; à minuit, il s'effondrait, épuisé, détendu comme un ressort cassé. Mais la dernière heure reculait.
Extrait de Miror, Roland Giguère
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